Chers amis,
Je reviendrai ici et ailleurs largement en détails prochainement sur la campagne de dénigrement qui atteint des sommets dans l’ignoble, dont je fais l’objet dans le cadre de mon activité professionnelle de professeur de philosophie, depuis la rentrée du mois de septembre, du seul fait de mon engagement et de mes combats politiques : je suis attaqué, publiquement injurié, calomnié, diffamé par quelques individus exerçant la même profession que moi.
Tout cela est d’autant plus inacceptable que je me suis toujours montré parfaitement irréprochable, moi — contrairement à ceux donc qui m’attaquent —, eu égard au devoir de neutralité idéologique s’imposant à tout fonctionnaire d’Etat dans l’exercice de ses fonctions : aucune confusion, de mon côté, entre le cadre, par nature inviolable d’un établissement scolaire où la violence des hommes ne saurait pénétrer, et l’engagement politique qui, pour relever de la responsabilité de chaque citoyen, ne peut qu’être absolument extérieur aux lieux où l’on instruit et institue le futur citoyen !
Combien de fois a-t-on vu, au contraire, les mêmes se vautrer dans la plus complète confusion des genres par des propos, parfois violemment culpabilisants, et incessamment alimentés par l’idéologie profondément antirépublicaine qui leur tient lieu de prêt-à-penser, le tout à destination de la jeunesse que la nation leur confie, et revenant à faire pression sur elle, abusant en cela son sens critique en formation, pour qu’elle grossisse les rangs de leurs propres mouvements et manifestations (des personnels de direction qui ont gardé le souvenir intact de tels agissements s’en sont parfois ouverts à moi) ?
La situation que je connais, parce que je ne suis évidemment homme à me laisser impressionner, intimider ou disposé à reculer, ne saurait évidemment rester sans réponse de ma part : alors que ces gens, résistants à la petite semaine contre un ennemi imaginaire — sont-ce à la fin les prétendus « fachos » qui dans la France d’aujourd’hui agressent, tuent, décapitent ??? —, ont déjà usé toutes les ressources d’ignominie dont ils sont capables (jusqu’à instrumentaliser des élèves mineurs contre leur enseignant ou s’être rendu coupables de dénonciation calomnieuse auprès de l’autorité administrative), il s’avère que ma voix porte, que j’ai le bras assez long et que j’en ai suffisamment sous le pied pour que la riposte qui a déjà commencé, n’en soit justement qu’à son commencement !
J’en fais désormais une question de principes et d’honneur, et surtout un motif de combat politique redoublé : il faut que ces gens-là, coresponsables du naufrage de notre pauvre Ecole, comprennent que leur idéologie mondialogauchiste, c’est-à-dire antirépublicaine, outre ses multiples incohérences — comment peut-on prétendre lutter contre le « capitalisme » et, en même temps, encourager les flux mondialisés de populations qui en sont l’un des vecteurs et l’un des effets ? —, que cette idéologie, donc, à laquelle ne peuvent souscrire que des haineux incultes, ne détient plus aucun monopole sur l’Education !
Il faut que soit mis à terre une fois pour toutes le terrorisme intellectuel qu’ils ont fait régner, et pour le pire, dans ce milieu et quelques autres, depuis bien trop longtemps ; il faut, dussent-ils l’apprendre à leurs dépends, que l’Ecole de la République devienne bel et bien ce sanctuaire où aucune idéologie d’aucune sorte ne saurait avoir droit de cité, afin qu’elle soit toute entière dédiée, dans la sérénité qui permet l’étude et l’élévation de l’esprit, à la transmission du savoir, à l’instruction et à l’institution du citoyen éclairé et libre !
Ce sont eux, ces gens qu’il faut bouter hors de nos établissements d’enseignement ou, tout du moins, qu’il faut coercitivement rappeler à leur devoir de loyauté envers la République et la France : un fonctionnaire de la République, a fortiori lorsqu’il en est l’un des professeurs, représente l’Etat face aux jeunes gens que la nation lui confie, il doit donc n’afficher aucun engagement partisan, mais n’être guidé dans ses actes que par le seul souci de l’intérêt général qui, en l’espèce, se décline à travers l’acte d’instruire et d’instituer, par l’instruction, le citoyen, mission des plus nobles qui suppose que le professeur maintienne avec constance une asymétrie avec l’élève, qu’il s’emploie notamment à toujours manier un langage de la plus exemplaire correction, qu’il soit correctement vêtu, que tout dans son comportement soit de nature à inspirer le respect, l’autorité n’étant d’ailleurs rien d’autre que ce qui suscite naturellement le respect.
Pour en revenir à la campagne de dénigrement que je subis de la part des « tolérants » intolérants et des fascistes « antifascistes » de « salles des profs' », je remercie donc, et très chaleureusement, mon ami Pierre Cassen, fondateur de « Riposte laïque », pour le soutien qu’il m’apporte avec talent, à l’occasion notamment de l’allocution vidéo que je relaie ci-dessous, de même que la page de son site internet qu’il a bien voulu consacrer aux pratiques ignobles que ces extrémistes de l’anti-France ont osé mettre en œuvre à mon encontre : lorsqu’on s’en prend à un professeur de la République, c’est la République dans son ensemble qu’on attaque !
Alain Avello
Voyez la page dédiée sur le site de « Riposte Laïque »
